L'orphelinat du XIXe siècle, aux Instituts d'enfants SEILLON
A l'origine, Seillon était un orphelinat de garçons, fondé par le père Griffon en 1860. Quelques années plus tard, il créait la congrégation des soeurs franciscaines de Seillon.
Il leur confia l'éducation et l'entretien de ces enfants.
Il y a plus d'un siècle, les religieuses en collerette blanche et les petits garçons en sabots de bois passaient sous le même porche en pierre qui ouvre aujourd'hui encore sur la cour de l'ITEP et de la Maison d'enfants de Péronnas. L'orphelinat avait des terres agricoles et tout le monde y travaillait. Il vivait presque en autarcie, se nourissant grâce à l'éle-vage et à la culture sur les 17 hectares de la propriété.
Dans les années qui suivent la seconde guerre mondiale et dans le cadre de l'évolution de la législation, l'association gestionnaire passe un contrat avec les pouvoirs publics pour lui permettre de poursuivre et développer sa mission. L'établissement devient une Maison d'enfants à caractère social à compter de 1960.
En 1970, devant les grandes difficultés scolaires rencontrées par les enfants accueillis, un institut médico-psychologique (IMP) est ouvert à Seillon, avec des classes d'enseignement spécialisé.
En 1984, il est complété par une section pré-professionnelle en horticulture. C'est devenu un insti-tut de rééducation en 1996... puis un institut thérapeutique, éducatif et pédagogique (ITEP) en 2005.
En 2004, une Maison d'enfants ouvrait à Saint-Nizier-le-Bouchoux. La Maison d'enfants Seillon Ados+ a été créée en novembre 2004 et a intégré ses locaux définitifs en 2011.
En 2010, un service d'accompagnement renforcé (SAFRen) est ouvert en direction des jeunes et des familles en difficultés et qui permet d'éviter un placement et/ou d'accompagner les jeunes qui quittent les mMisons d'enfants. Il se développe en 2012 par la mise en oeuvre d'antennes sur trois sites du départements.
2013 voit la construction d'un nouveau bâtiment composé de 3 unités de vie et permettant l'augmentation de sa capacité d'accueil.
Notre culture associative nous permet de développer l'esprit d'équipe, la non lucrativité et l'esprit bénévole. Nous affirmons notre autonomie tout en développant le partenariat et les réseaux de proximité, dans un esprit de transparence et d'information.
Il leur confia l'éducation et l'entretien de ces enfants.
Il y a plus d'un siècle, les religieuses en collerette blanche et les petits garçons en sabots de bois passaient sous le même porche en pierre qui ouvre aujourd'hui encore sur la cour de l'ITEP et de la Maison d'enfants de Péronnas. L'orphelinat avait des terres agricoles et tout le monde y travaillait. Il vivait presque en autarcie, se nourissant grâce à l'éle-vage et à la culture sur les 17 hectares de la propriété.
Dans les années qui suivent la seconde guerre mondiale et dans le cadre de l'évolution de la législation, l'association gestionnaire passe un contrat avec les pouvoirs publics pour lui permettre de poursuivre et développer sa mission. L'établissement devient une Maison d'enfants à caractère social à compter de 1960.
En 1970, devant les grandes difficultés scolaires rencontrées par les enfants accueillis, un institut médico-psychologique (IMP) est ouvert à Seillon, avec des classes d'enseignement spécialisé.
En 1984, il est complété par une section pré-professionnelle en horticulture. C'est devenu un insti-tut de rééducation en 1996... puis un institut thérapeutique, éducatif et pédagogique (ITEP) en 2005.
En 2004, une Maison d'enfants ouvrait à Saint-Nizier-le-Bouchoux. La Maison d'enfants Seillon Ados+ a été créée en novembre 2004 et a intégré ses locaux définitifs en 2011.
En 2010, un service d'accompagnement renforcé (SAFRen) est ouvert en direction des jeunes et des familles en difficultés et qui permet d'éviter un placement et/ou d'accompagner les jeunes qui quittent les mMisons d'enfants. Il se développe en 2012 par la mise en oeuvre d'antennes sur trois sites du départements.
2013 voit la construction d'un nouveau bâtiment composé de 3 unités de vie et permettant l'augmentation de sa capacité d'accueil.
Notre culture associative nous permet de développer l'esprit d'équipe, la non lucrativité et l'esprit bénévole. Nous affirmons notre autonomie tout en développant le partenariat et les réseaux de proximité, dans un esprit de transparence et d'information.
